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LA TROUPE

 

 

 

 

Sensibilité et aproche

 

La compagnie Masque à terre recherche et crée autour du dévoilement : folie, innocence, mécaniques grinçantes cachées sous nos masques quotidiens...failles, colères, douceurs inavouables.

Le théâtre est selon nous un lieu privilégié qui permet, le temps d'une répétition ou d'un spectacle de dévoiler ce qui dort au dessous des apparences, des habitudes, des modèles qui nous bercent.

 

Eprouver à la fois ce qui fait écran au dévoilement dedans ou dehors et ce qui se dévoile quand les masques tombent : d'autres perceptions du réel, rêveuses, chaotiques et improbables, chahutées et apaisées, mentales ou charnelles, enfantines ou désépérement adultes...poétiques.

 

Nous explorons une frontière fragile où se cachent d'autres mondes possibles, d'autres clartés peut être, sous les ombres d'une société qui semble si souvent à la dérive.

C'est aussi le territoire d'une sincérité qui ne peut que s'apprendre, sans fin.

 

Nos spectacles cherchent à évoquer, à questionner, à raconter le dévoilement, pas forcément pour lui donner un sens mais pour le rendre sensible sous la forme de voyages.

 

 

Historique

 

 

En 2010, Adrien Morel, Anne-lise Bondu et Gwenn Guéry se rencontrent au diplôme universitaire de théâtre d’Angers. Pendant deux ans ils se forment aux pratiques théâtrales au contact de professionnels comme Mario Gonzales (Théâtre du soleil), Carlo Boso (Picollo Théâtre de Milan- directeur de l'AIDAS), Pascal Arbeille (L'instant avant l'Aube) ou Sarkaw Gorany (Théâtre du soleil).

 

En 2012, ils créent la compagnie Masque à terre et se lancent dans la construction d'une première forme théâtrale en milieu universitaire, La ruche. Ils s’orientent d'abord vers un théâtre de recherche et de création, qui tente de jeter des passerelles entre les formes expérimentales et populaires.

 

Leur travail s’appuie alors sur l’improvisation et l’écriture au plateau en utilisant comme outils premiers la musique des corps et de l’espace, les masques et la variation des registres pour la composition des personnages et l’invention dramaturgique.

 

En 2013, la rencontre entre Gwenn Guéry et Sébastien Hergott initie un nouveau cycle de recherche qui explore le lien entre la littérature, la musique et le théâtre.

 

 

 

 

 

 

 

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